Aucun secteur n’est épargné par le tsunami de suppressions d’emplois déchaîné par les capitalistes à l’occasion de la crise du coronavirus.
« Il y aura des faillites et il y aura des licenciements dans les mois qui viennent », a prévenu le ministre de l’Économie Bruno Le Maire, le 22 mai dernier.
Lire la suiteIl faut l’unité Pour le maintien de l’usine de Flins Pour le maintien de toutes les activités et de tous les emplois Pour l’interdiction des licenciements.
Des plans de suppressions d’emplois et de licenciement sont annoncés à Air France, PSA, AIRBUS et dans l’aéronautique. Des millions de salariés sont en chômage partiel dans le pays.
Renault, selon la presse, fermerait les sites de Choisy le Roi, Dieppe, les Fonderies de Bretagne à Caudan et le site de Renault-Flins n’assemblerait plus de véhicules.
Lire la suiteEn annonçant le début du déconfinement partiel le 11 mai prochain – en particulier la réouverture scolaire dans ces conditions –, Macron n’a pu dissimuler ses véritables motivations. Ce n’est pas l’amélioration de la situation sanitaire de la population qui guide cette décision mais l’exigence répétée du Medef et de la classe capitaliste : les profits ne peuvent attendre davantage, il faut rouvrir les entreprises, quels qu’en soient les risques pour les salariés, les enseignants, les enfants.
Lire la suiteLes travailleurs qui se mettent en grève et manifestent avec leurs organisations pour le retrait des ordonnances
Macron-Philippe sont dans leur droit.
Dans ces ordonnances qui livrent les travailleurs, entreprise par entreprise, aux diktats des patrons, rien n’est
favorable aux intérêts ouvriers…