Le 6 avril, Attal a annoncé ses « solutions » pour régler le problème de plus en plus dramatique de l’accès aux soins.
Sans surprise, le gouvernement décide de réduire les services rendus à la population et de prendre dans la poche des assurés sociaux.
Parmi les mesures annoncées :
Plus besoin de médecin pour avoir des médicaments ; Aujourd’hui, seul le médecin peut délivrer une ordonnance. À partir de juin, les pharmaciens pourront délivrer des antibiotiques en cas d’angine et de cystite simple. Jean-Paul Hamon, président d’honneur de la Fédération des médecins de France, dénonce une « mesure qui se fera au détriment des patients » qui ne seront plus examinés…